Posts Tagged “femme”

NEW DELHI – Le Parlement s’est penché ce matin sur une bien curieuse question de sécurité nationale : que faire du gérant de la petite société Limco Sales Corporation ? Il est en effet apparu qu’il avait réussi à ouvrir à son nom, auprès de l’opérateur de téléphonie mobile Idea Cellular, pas moins de 3640 lignes.

L’homme s’est défendu de toute activité illégale : “Ma femme me reprochait d’être tout le temps injoignable”, a-t-il affirmé.

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PATNA – Un rapport du contrôleur général du Gouvernement de Bihar sur les mesures d’encouragement de la natalité amène à se gratter la tête. Ces mesures assurent notamment le versement de 1000 roupies par enfant né. Or, 298 femmes ont affirmé avoir accouché entre 2 et 5 fois sur la période considérée.

Celle-ci est de 60 jours…

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NAGPUR – Jyoti Amge a bien du mérite : à 16 ans, la plus petite femme du monde (58 cm) vient de s’inscrire aux épreuves du brevet des collèges et compte bien poursuivre loin ses études, si possible en médecine ou chimie. Elle compte notamment trouver un poison efficace contre les rongeurs qui la coursent tous les soirs sur le chemin du collège.

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NEW DELHI – Arjun, avocat de profession, passait ce matin devant le juge, non au titre de ses activités, mais comme accusé suite à une plainte de harcèlement pour dot déposée par sa femme. Arjun a réfuté être l’auteur des blessures exhibées par son épouse, affirmant que celle-ci se les était elle-même administrées.

Le juge l’a pris au mot : il devra comparaître au commissariat de son quartier demain et s’infliger lui-même des blessures similaires. Et son épouse aura le droit de le faire recommencer jusqu’à totale satisfaction de sa part.

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NALGONDA (Andhra Pradesh) – Un paysan d’un village du district rentrait saoul tous les soirs chez lui, battant sa femme au motif qu’il trouvait sa dot insuffisante. Les femmes du village ont fini par se révolter : elles l’ont attaché ce matin à un arbre avant de le frapper à tour de rôle.

Elles avaient fort heureusement les ustensiles adéquats pour l’immobiliser.

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BAREILY (Uttar Pradesh) – Après l’affaire de la fatwa de Darul Uloom Deoband, une autre école islamique vient de proposer une version bien tempérée de cette mesure. Le mufti de Darul Iftah vient ainsi de considérer que les femmes pouvaient effectivement travailler dans un environnement masculin, mais “sous réserve d’être voilées et sous d’autres conditions”. Par exemple, des dessous sexy.

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AALDI (Uttar Pradesh) – Le panchayat (conseil municipal) du village a adopté une bien curieuse sanction à l’égard de deux jeunes tourtereaux surpris en train de se compter fleurettes. Les membres du panchayat ont ainsi obligé la demoiselle à gifler cinq fois son prétendant avec une paire de chaussures, puis à lui raser la tête.

Elle-même a reçu pour sanction une enveloppe de 5000 roupies. Détail amusant, ce panchayat est le seul du district composé exclusivement de femmes.

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BOMBAY – Le mouvement Shave India, sponsorisé par une célèbre marque de rasoirs, vient d’établir un nouveau record : 2000 personnes ont participé à un grand rasage collectif hier. Dont 1352 femmes.

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Départ relativement matinal pour (enfin) accéder à l’esplanade des mosquées, aux horaires très aléatoires. Sur le chemin, petite pause à la Tombe du jardin, qui, pour certains, aurait été le lieu d’inhumation d’origine du Christ à sa descente de la croix.

Après de nouveaux controles des forces de police israéliennes ((mais pourquoi 80% d’entre eux sont d’origine africaine ? Pour évincer toute critique de partialisme sioniste par les Palestiniens ?)), on accède enfin à l’esplanade vers 9h15, dont les forces israéliennes et palestiniennes se partagent subtilement la garde. On apprend d’ailleurs au passage les raisons de la fermeture dimanche : un groupe de juifs orthodoxes sous protection policière avait tenté de venir y prier, ce qui avait conduit à quelques sérieuses échauffourées.

Pas de cas semblable cette-fois ci mais on apprend après une toute petite demi heure de déambulation que l’esplanade va être fermée à 10h au lieu de 11h30, sans raison avancée. On finit donc rapidement le tour, avec vue sur le Mont des oliviers et sur la vieille ville. Pas de regrets en revanche pour les deux mosquées, celles-ci sont fermées aux non-musulmans depuis la 2e intifada de 2000.

On réarrange un peu le progamme prévu : exit Yadvashem, il y a encore trop de choses à faire dans la vieille ville pour la 1e journée totalement non-fériée. Nouveau petit tour au Saint Sépulcre, où on profite d’un fort repli des groupes russes pour errer tranquillement dans les différentes chapelles.

Direction ensuite la Tour de David, qui accueille le musée historique de la ville. On apprend ainsi beaucoup de choses sur les différentes époques ayant marqué la ville (pas moins de 25 séries de constructions et destructions). En route vers la porte de Sion, déjeuner à la Taverne arménienne, pour un repas très parfumé dans une ambiance assez authentique.

A la porte de Sion, on découvre le dernier grand site de la vie du Christ à Jérusalem, à savoir la salle de la Cène. Direction ensuite la nouvelle ville, où Jaffa Road a repris vie. Passage par le marché traditionnel, avec des stands jordaniens ou irakiens qui donnent envie de tout gouter. Au retour enfin, on repasse par le quartier juif ultra orthodoxe, avec un arrêt à la très jolie église éthiopienne. Les habits traditionnels sont toujours là, mais dans leur version de tous les jours : tous les hommes en costume noir de satin avec chemise blanche et papillottes, les femmes en jupe longue grise et fichu.

Et voilà qui clot l’étape de Jérusalem ! Trajet vers Nazareth demain matin (via Haifa ou Tibériade), et la ville l’après-midi.

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Yom Kippour oblige, on concentre la journée sur Jérusalem est. Après un départ relativement matinal afin d’échapper aux fortes chaleurs, on attaque la montée au Mont des Oliviers en compagnie d’un chaton qui fera les 2/3 du chemin avec nous… Méritoire, car la montée est abrupte, mais le paysage splendide, entre oliviers pluri-millénaires et églises en tout genre (catholiques romaines et arméniennes, orthodoxes grecques et russes…).

Au sommet, à l’ombre d’un gigantesque drapeau israélien narguant les modestes familles palestiniennes, visite du cloitre Pater Noster, à la triple particularité :

  1. comme de nombreux sites catholiques de Jérusalem Est, il est placé sous la protection et la gestion du Consulat de France ; d’ailleurs, la carmélite de la boutique est française et toute heureuse de pouvoir échanger avec d’autres personnes que les habituels groupes russes ou polonais ;
  2. les murs du cloitre sont couvertes de panneaux de faïence énonçant le Notre Père en pas moins de… 161 langues ! Curieusement, on y trouve le marathi, le bengali ou le konkani mais pas l’hindi ;
  3. le cloitre abrite la moins connue des trois “grottes mystiques” de la vie du Christ, qu’il occupait à Jérusalem (les deux autres ayant accueilli les extrêmités de sa vie, à sa naissance pour Bethlehem et à sa mort pour le Saint Sepulcre)

On tente ensuite l’église de l’Annonciation, mais la ferneture des check-points n’a pas permis aux employés (habitant en Cisjordanie) d’arriver, et elle demeure donc fermée. Sur ce versant est du Mont des oliviers, on retrouve d’ailleurs la longue cicatrice du mur de séparation, prenant parfois de grandes libertés face à la ligne verte de 1967.

Après un bon repas palestinien ((quel bonheur, le café arabe à la cardamome !!)) en féline compagnie, retour vers la vieille ville, avec un arrêt à la tombe de Marie, très fortement influencée par les rites orthodoxes russes. On passe pour la première fois par la porte des Lions, premère étape du chemin de croix du Christ. On suit ce dernier, avec une étape à l’élise St Anne, elle aussi sous protection française, avec une accoustique magnifique et une grotte ayant accueilli la naissance de Marie. Plusieus consuls de France y sont d’ailleurs inhumés.

Après un petit détour par le mur des lamentations (pas grand monde ; Yom Kippour est une célébration qui se vit à l’intérieur), on se rend pour la première fois sur Jaffa road, la principale artère de la ville nouvelle. Celle-ci semble complètement morte, et on prend donc le pari de revenir à l’hotel par Mea She’arim.

A l’opposée totale (par ll’ambiance) des villages palestiniens du matin, ce “shtetel” (ghetto juif) abrite les familles les plus ultra-orthodoxes de la ville. Il faut donc faire profil très, très bas (d’où l’absence de photos, déjà pas recommandées en temps normal). Tout voyeurisme mis à part, c’est assez fascinant de voir ces rues sans le moindre bruit de moteur, ces maisons sans électricité, ces femmes en longue robe grise et fichu blanc, ces hommes de tous âges à papillottes et châle blanc… Et losque l’on passe devant les synagogues, ce sont des clameurs fabuleuses qui montent vers le ciel pour marquer la fin du plus sacré des jours du calendrier.

Demain, dernière chance pour enfin voir l’esplanade des mosquées et Yadvashem, avant une journée de mercredi qui promet d’être compliquée sur le plan logistique…

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