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KONARK (Orissa) – Afin de perpétrer les traditions, une compétition de pleurs entre une vingtaine de jeunes filles a été organisée hier soir. Les coutumes locales veulent en effet que les futures mariées quittent leur famille en récitant un poème émouvant et en pleurant à chaudes larmes lorsqu’elles rejoignent la maisonnée de leur époux.

Deepika a remporté la compétition haut la main, avec 18,3 litres de larmes.

BANGALORE – Mohammed Sayeed, 40 ans, devait convoler ce matin en justes noces, ses sixièmes, avec Kausar Salma, âgée de 25 ans. Il a cependant été empêché au dernier moment par sa 5e épouse, celle-ci ayant enquêté sur sa future promise et ayant ainsi découvert qu’elle avait dépouillé onze époux, les accusant faussement juste après la noce de demander une dot exorbitante.

C’était notre jeu hebdomadaire “Une de perdue, onze de retrouvées”.

PATNA – Shabnam Mokhtar a été très surprise d’apprendre ce matin qu’elle devrait déménager, son époux l’ayant pariée et perdue aux dés hier soir.

Ce dernier ne lui a cependant pas dit qu’il s’était refait en cours de soirée, et avait ainsi gagné les deux filles de son adversaire…

BALUGHAT (Bengale Occidental) – Shampa Sarkar s’est immolée par le feu ce matin tandis que sa fille se suicidait au pesticide après que leur époux et père, mécanicien de son état, eut refusé de leur acheter de nouveaux vêtements pour la période de festivités. Ce gros radin les a même couvertes d’un linceul d’occasion sur le bûcher.

KANPUR – Excédées par l’oisiveté de leurs époux, qui refusent de travailler et boivent les maigres économies du ménage, plusieurs dizaines de femmes du district ont décidé de s’organiser en association. L’objet social de celle-ci : “s’unir pour frapper conjointement tout conjoint d’une militante pris en flagrant délit de boisson ou de jeu”.

Pour fêter la formation de cette association, elles ont décidé de fabriquer le plus grand rouleau à pâtisserie du monde.

MURSHIDABAD (Bengale occidental) – Irin Biswas a dit trois fois “qubul” (je le veux) ce matin, et est ainsi devenue l’épouse de Safikul Islam. Particularaité de ce mariage : tandis que la mariée était dans son village, le futur époux était au Koweït, où il est contremaître sur un chantier. Il n’avait en effet pu réunir les fonds pour s’offrir le voyage, mais l’imam a assuré que cette union à distance était religieusement valide.

La nuit de noces a ensuite été particulièrement torride.