Hindigo

Ce mois de mai 2010 a été le plus important depuis les origines d’Hindigo (30 décembre 2006) : 14 078 visiteurs uniques. Je ne vous serre pas la main individuellement, mais le coeur y est, merci merci !!

Quelques statistiques sur tout cela :

• ça glandouille toujours en fin de semaine : il y a en moyenne 26% de visiteurs en plus le vendredi par rapport au samedi ;
• après la page d’accueil, celle qui attire le plus de visiteurs est l’archive de Tiffin ; si vous voulez plus de recettes, on vous recommande l’excellent blog de Geoffroy et Olivia, et plus particulièrement leur catégorie culinaire ;
• 20% des visiteurs continuent à arriver sur le blog via le Petit Moustachu sur le gros bébé ; j’ai renoncé à comprendre… ;
• près de 250 visiteurs sont venus avec un navigateur dont je n’ai jamais entendu parler (curieusement, pas un seul avec Chrome, à moins qu’il ne soit pas identifié) ;
• 357 visiteurs naviguent sous Solaris… mmmh… ;
• à l’heure où l’on écrit ce texte, le compteur affiche 166 678 visiteurs

[youtube]GdIHOV6VGNU[/youtube]

Quand les naxalites, rebelles maoïstes du centre de l’Inde, tendent une embuscade à un détachement de l’armée, ils s’y mettent à :

1. trois ;
2. vingt ;
3. cent ;
4. mille

Réponse ici.

Il paraît que l’Inde est devenu le 3e centre mondial des techniques d’animation, après les Etats-Unis et la France. On se pose donc la question : la video ci-dessous pourrait-elle être indienne ? On se dit oui en pensant à la patience et à la capacité à “perdre” du temps qu’elle a dû requérir, mais on se dit non en constatant le soin du détail et la méticulosité demandés…

[vimeo]9679622[/vimeo]

A quelques jours de nos propres concours, réponses aux questionnements des visiteurs qui les ont amenés ce jour sur le blog :

• “hindigo” : oui, c’est bien ici, sauf si vous cherchiez le magasin de meubles (nantais, je crois…) ;
• “où vais-je où cours-je dans quel état j’erre” : citation du regretté Pierre Desproges, dans une Chronique de la haine ordinaire, de mémoire ;
• “ghee calories ” : vous ne voulez pas savoir ;
• “camions du penjab” : on les reconnait au turban sur la tete ;
• “pont mumbai” : il parait qu’il est fini… enfin, a moitie… apres 16 ans de travaux… ;
• “sagaing” : l’une des principales sources de la révolte des moines birmans en 2007 ; le lapin miracle y cotoie le dictateur en goguette ;
• “photo de moustaches” : allez plutot en Alaska.

Tous les jours, on reçoit de nos amis banquiers un certain nombre de rapports fort intéressants et utiles sur des sociétés ou des secteurs de l’économie indienne. Que vendre, qu’acheter, quelles sont les perspectives à moyen terme… ?

Et puis, certains jours, on reçoit cela :

Si vous aussi, vous avez le Poisson dans le Pluton, évitez d’acheter Veolia…

CALCUTTA – Rajeev Kumar est bien connu dans les milieux musicaux de la ville. Sa spécialité : l’harmonica nasal, consistant à jouer de l’instrument au moyen de sa seule narine droite. Il joue également parfois de deux harmonicas simultanément, avec un second instrument à la bouche.

Son prochain défi : “l’harmonica ORL”, avec un troisième instrument à l’oreille gauche.

Après discussions avec les RH, révisions des options pour septembre prochain : les postes pépères recensés sont déjà “fléchés”, comme on dit, mais en revanche deux postes bien intéressants, que l’on considérait comme inatteignables, sont en fait tout à fait jouables. En images, cela donne :

ou

Rien de certain bien sûr, mais tout cela semble très motivant…

C’est le temps qu’il fallait hier soir pour remonter Marine Drive en voiture.

Les amateurs apprécieront. Pour les autres, disons que la “Promenade des Anglais” de Bombay ne fait que 3 petits kilomètres… La combinaison d’un orage incroyable ((presque pas de pluie mais environ 3 éclairs par seconde)), de la fin du Ramadan et de Durga Puja était fatale.

Une histoire qui ne peut arriver qu’à Bombay…

Un habitant de Pune voulait samedi matin se rendre à Matunga, une banlieue de Bombay. Il embarque par mégarde sur un train rapide, qui passe sans s’arrêter par la gare désirée. Se rendant compte de son erreur, il demande à ses voisins comment réparer celle-ci.

L’un d’eux, habitué de la ligne, lui dit :

“Lorsque nous arriverons à la gare de Matunga, le train ralentira fortement ; tu n’auras qu’à sauter en marche, mais n’oublie pas de continuer à courir pour éviter de tomber au moment où tu toucheras le sol”.

Notre homme, tout heureux de cette solution, se prépare à descendre. Arrivé à Matunga, le train roule en effet presque au pas, et il se lance. Mais à l’impact, au lieu de courir en biais pour rejoindre la gare, il court parallèlement au train. Celui-ci a encore ralenti, si bien qu’à force de courir, notre homme atteint le wagon précédent.

Les occupants de celui-ci croient voir un retardataire cherchant à tout prix à avoir son train. Ni une, ni deux, ils le tirent par les épaules pour le faire monter, au grand désarroi de notre habitant de Pune, qui voit le train reprendre de la vitesse…