PATNA – A l’approche des élections générales, les candidats à un poste de député ressortent leurs vieilles superstitions. Entre cérémonies de bénédiction (ou de malédiction des adversaires) et rites plus ou moins religieux, les candidats font appel à tous les dieux.

Hanumân demeure l’un des préférés. En quête de monnaie de singe, peut-être ?

Répondre